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Le vent soufflait. Le vent soufflait, et s’oser dans sa chevelure brune. Les yeux rivé vers l’horizon, les pensées tournée sur tous son passé, si long, si prévisible, si noir…

Ses yeux noir indiqué sa soif de sang si peu souvent rassasié. La lune s’était levée en cette magnifique nuit, et son regard l’observait longuement. Il cherchait pourquoi il était encore ici, pourquoi il avait essayait de survivre ainsi, seul, dérivant dans un monde qu’il n’aurait jamais dut découvrir, qu’il n’aurait jamais put découvrir sans que cette nature lui soit accordé dans la souffrance et la soif irrésistible.

Assis dans l’encadrement en bois de la fenêtre, orienté Nord, il observait le ciel, sombre, mais se levant petit à petit, laissant place à une garde de nuages sans débuts et sans fins. Si un vampire pouvait pleurer, il pleurait certainement en ces moments présents. Il se leva, marchant sur le parquet d’ébène, se dirigeant vers son salon au design très moderne et alluma la télévision. S’affalant sur le canapé en cuir, les informations faisaient rapport de nombreux meurtres et agressions dans Seattle et ces alentours… A la suite, la journaliste explique que la police craint un règlement de compte entre bandes rivales. A cette annonce, Julian, ne put que soupirer et éteindre la télévision.

Se levant à nouveau, il se dirigea vers se qu’il pourrait désigner comme une chambre, pris une chemise grise, un jean noir, une paire de converse blanche, et un manteau qu’il déposa sur le lit, en prenant soin de pas oublier chaussette et sous vêtement… De nos jours il faut être crédible. Passant sous une douche froide, puisqu’il ne lui servait à rien de l’avoir chaude, il se lava rapidement et sortis avec rapidité de cet endroit humide qu’étais la salle de bain, pour se précipiter d’un pas rapide, jusqu’à son lit pour s’y habiller. Mais il lui fallut revenir, pour, je crois, se contempler et ajouter une goutte de l’un de ces nombreux parfums. Une fois prêts, il prépara ces quelques livres et cahiers dans une besace de cuirs, enfila son manteau noir léger et sa paire de converse, pour enfin partir, dans sa BMW M3 Coupé noir, en direction du lycée, ou, officiellement il était inscrit comme élèves de Terminal.

Son domicile était bien loin de Forks, question de sécurité et aussi de préférence. La forêt l’accueillait à bras ouverts chaque fois qu’il en foulait les terres. La maison moderne, construite sous peu, avant son arrivé dans la petite ville, était légèrement en hauteur, et ainsi donc, il dut descendre dans une suite de serpentin la route, pour rejoindre la national.

Il roulait « lentement », enfin, à la vitesse qu’un humain se doit d’avoir. Son bracelet de cuir au sceau de sa famille continuait les périples en compagnie de son propriétaire. Lui qui aimait la vitesse, lui qui possédait la patience, tout était à son contraire aujourd’hui.

Les sept heures pointèrent leurs nez quand Julian arriva en ville. Il trouva rapidement le lycée, bien peuplée en ces heures, et se gara, sous le regard de certain, dévisageant ou admirant la magnifique voiture du jeune homme. Des lunettes sur les yeux, quoi de plus anormal en ces lieux, il descendit, n’oubliant pas son sac et referma avec tact et délicatesse la portière conducteur, agrémentant d’un appuie sur la touche fermeture automatique de la clé du véhicule. Il monta les escaliers, et partit dans ce labyrinthe humain scolaire. Il trouva néanmoins avec beaucoup de facilité le secrétariat auxquels il prit tout les papiers qu’un nouveau comme lui se doit d’avoir en arrivant dans un nouvel établissement. Il observa son emploi du temps et se rendit avant la sonnerie à son casier, chose un peu moins facile que la première étape. Mais en grand garçon, il le trouva, posant les livres dont il n’aurait pas besoin.

* Qu’elle idée j’ai eu… Pourquoi me suis-je mis dans un tel pétrin *

A croire qu’il espérait que tout lui tombe des mains. Mais… Ce fut ce qui se passa. Il prit son courage à deux mains – oui, un vampire à du courage ! – et se lança à la quête de sa classe, sans non pas de problème… Qui pourrait l’aider à présent ?