Golden Eyes
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 La maison des malades (mentaux?)[Carlisle]

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2 participants
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Ârash Namdar-Katalan

Ârash Namdar-Katalan


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MessageSujet: La maison des malades (mentaux?)[Carlisle]   La maison des malades (mentaux?)[Carlisle] Icon_minitimeLun 26 Juil - 0:50

Vous n'avez jamais eu l'impression que "aujourd'hui" le monde est contre vous?

C'était justement ce que Ârash pensait de cette journée. Extrêmement éprouvante. Déjà le matin, il avait fait renversé le café sur son pantalon. À part du fait de ne pas essayer de crier pour ne pas réveiller sa grand-mère, parce que le café chaud sur la cuisse ça crame un peu... le pire c'est de se déshabiller, se préparer un autre café et tomber nez à nez sur une note de sa grand-mère indiquant ceci:

" Yaqarli (chéri), aujourd'hui c'est 9 beAv, tu t'en souvient? J'ai promis à Leylah que je veillerais à ce que tu suives le jeûne, au moins de ce jour-là vu que pour Yom Kippur tu ne seras probablement plus à Forks. D'autre part, ton père voudrait que tu suives pour une fois dans ta vie le Ramadan. Ils m'ont envoyé un mail pour te dire cela. Inutile de chercher un petit déj, j'ai tout caché. Je ne t'ai pas préparé de déjeuné, ceci dit je te fais confiance et je pense qu'à l'hôpital tu n'iras pas à la cafétéria n'est-ce pas?

À ce soir mon petit bout de chou. Du Shirin Polo t'attendra, j'espère que je me souviendrais de comment le faire. Il ne sera pas aussi bon que celui de Mahdis mais j'vais essayer quand même.

PS: j'ai laissé le ticket de la lavanderie sur la table, n'oublie pas de passer prendre ta kippa et ton talit! Ce soir c'est shabbat!

Emma
"

Après quoi, Ârash ne put éviter de proférer une série de jurons dans toutes les langues imaginables. Oui, même en latin. Quand on a une mère archéologue c'est d'ailleurs la première chose qu'on apprend.
Après ce moment de désespoir, il décida de prendre son mal en patience. Il allait déjà apaiser sa mamie en faisant le jeûne de 9 de Av, et après, négocier le ramadan. Et se trouver un endroit ou voyager pour Yom Kippur.


* Peut-être que je devrais quand même passer Yom Kippur avec mamie, ça lui ferait plaisir, même si....pffff ce qu'on fait pas pour la famille!!! J'paris que Mahyar ira s'amuser à Tokyo avec papi Manuchehr pour éviter Môman!*

Il mit la machine à laver. Après avoir mis du produit spécial tâches sur son pantalon il le regarda tourner régulièrement avec le reste du linge pendant quelques secondes. Puis il se releva, soupira et écrit un petit message à sa mamie:

" Ok, j'ai pas touché au café. J'ai fait une machine, elle doit être sur le point de finir. J'ai pris la voiture. À ce soir. Pas grave pour le Shirin polo. Si tu préfères, j'aime bien ton Adafina aussi.

Ârash
"

Sa mamie comprendrait bien que ça venait de l'abattre pour la journée l'histoire du jeûne. Quant à l'Adafina, il détestait ça. C'était bon, mais il n'en raffolait pas. Et il en aurait pour souper le vendredi, déjeuné et dîner le samedi. Pareil que tous les autres samedi. Elle savait qu'il en avait marre, mais il ne bronchait pas.
C'est pourquoi Emma essayerait de faire le Shirin Polo le plat préféré de Ârash.
9 d'Av supposait un problème. Il devait aller bosser, mais devait essayer de ne pas boire ni manger dans la journée. C'était un jour de jeûne complet.
Il avait donc changé son vélo, ou ses petites pattes, pour la voiture, afin de ne pas trop se fatiguer pour aller au travail. Il avait passé les 15 minutes qui le séparaient de l'hôpital à prier pour avoir un cas difficile pour passer la journée distrait et ne pas penser à sa mauvaise chance.

Apparamment, le divin en avait décidé autrement.

En rentrant à l'hôpital, il se prit un coup de néon. 2 électriciens étaient venus pour changer 4 néons de l'entrée qui avaient rendu l'âme il y a 4 jours, mais celui qui transportait les néons sur son épaule s'était tourné soudainement.
Ârash testa la dureté du sol, et l'incompatibilité des électriciens, dont l'un deux trébucha sur lui.



" Tu ne peux pas tomber plus bas, non? "

S'exclama Ârash aux électricien, surtout celui qui lui écrasait encore le ventre.
Ceci dit, ce n'en était pas fini pour Ârash.
Une fois changé, il ne reçut que des cas sans complication. Une femme enceinte et qui niait l'être en disant que ça devait être un cancer ou il ne savait pas quelles histoires, une prise de sang, un gamin qui s'était fourré dans le nez 2 figurines de son grand-frère, un pépé qui voulait du viagra...
Décidément, on lui attachait des tâches ingrates!
En fin de matinée se fut pire. Il eut enfin un cas important, un rhume qui s'était compliqué en pneumonie. Il fallait faire entrer le patient quelques jours.
Et donc il fallait remplir plein de papier!
Il demanda aux infirmières de s'emporter son patient pendant qu'il remplissait les papier. Mais OH! voilà que ceci demandaient si la bonne femme était afro-américaine, hispanique, et autres races très compliqués à cerner.
Il cocha la case qui lui semblait le plus intéressant pour sa patiente. Qu'importait à la fin une origine ou une autre! Lui il était quoi?
Après il le donna l'inscription au service qui n'était pas. Une petite erreur, il ne savait pas trop comment faire, c'était sa première fois.

10 minutes après, pendant qu'il plâtrait le bras d'un enfant en essayant de le faire rire, on l'appela pour aller au service des inscriptions. Déjà il eut un accrochage avec la personne qui l'avertit.


" Eh! l'nouveau! On t'appelle du bureau, vas-y c'est urgent! "

" Ok, j'y vais dès que j'ai fini. Alors, James, ça te fait mal? et ça? buuuuh tu vois, ce n'était pas si grave à la fin eh? "

" EH! j'ai dit que c'était urgent!! Tu vas y aller oui ou non?! "

" Miss... Parker c'est ça? Je vous ferais remarquer que je suis en train de travailler, que c'est tout aussi urgent de plâtrer le bras de cet enfant, et que si vous vous n'avez rien d'autre à faire que de rester debout sur le pas de la porte moi j'ai des patients à soigner. Veuillez fermer la porte en sortant merci! "

Ârash pouvait avoir du répondant quand il le fallait. Miss Parker claqua la porte et le petit James et Ârash continuèrent à parler jusqu'à que le p'tit bonhome sortit souriant du cabinet, le bras plâtré, un dessin sur le plâtre, le sourire aux lèvres.

Dans la salle vide, Ârash soupira, rangea les affaires, et observa la bouteille d'eau dans un coin. Il aurait voulu la prendre et la vider de son contenu mais s'en retient. Il sortit en trombe se rappellant de Miss Parker, il monta au 3ème étage.
Il attendit plusieurs minutes qu'elle finisse de discuter au téléphone sur une quelconque banalité avec Miss Smith du service comptable.
Après quoi il eut droit au savon sur le fonctionnement de l'établissement et le remplissage des fiches. Il l'écouta patiemment pendant qu'il sentait quelque chose bouillir à l'intérieur. Et qui finit par exploser.


" Écoutez, oui je suis nouveau, ça vous dérange? J'ai remplit la fiche comme j'ai pu et j'ai cru bien faire. Pour moi Mlle Neims est nord-américaine blanche, qu'elle vive à LaPush ou à New York. C'est votre problème si vous la trouvez indigène! Et je crois que vous avez ici un stylo pour corriger cela!
Quand au fait que j'aurais dû le donner à Mr Strom et non à vous, je crois que vous avez une paire de jambes qui vous ont permis de venir jusqu'au bloc où j'étais en train de bosser alors que vous vous n'avait apparemment rien foutu depuis tout à l'heure. Au lieu de descendre 3 étages vous aurez très bien pu en monter 2 et lui donner ce fichu papier à Mr Strom!

Y'en a qui bossent!
"

Miss Parker avait l'air étonné que quelqu'un lui parle sur ce ton. Soudain son regard changeait et annonçait la pire des catastrophes!
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Carlisle Cullen

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MessageSujet: Re: La maison des malades (mentaux?)[Carlisle]   La maison des malades (mentaux?)[Carlisle] Icon_minitimeLun 26 Juil - 22:12

    Pour Carlisle, il s’agissait d’une journée comme les autres. Courte, à son avis, mais il n’était peut-être pas assez objectif pour juger de la longueur des journées. Après tout, il ne dormait jamais, et pour lui, la journée était à la fois infiniment petite, et interminable à la fois. Une journée qui avait été une éternité, depuis le jour de sa transformation. Plus de trois cent ans déjà ! Parfois le médecin se demandait comment il avait pu survivre jusque là. Pas d’un point de vue physique, bien sur ! Tout le monde sait que les vampires sont immortels, puissants, et qu’ils guérissent très vite. Très peu de chose peut les tuer… Non ! Carlisle était en réalité stupéfait de ne pas avoir sombré dans la folie, après être devenu ce qu’il était. Oh bien sur, il avait beaucoup souffert les premiers mois. Et même les premières années. Si les années auprès des Volturis l’avaient apaisés, elles ne l’avaient toutefois pas consolés totalement. Non… Il s’était senti revivre uniquement après avoir rencontré sa femme, Esmée. Et avec du recul, cela ne faisait que peu de temps, dans la vie d’un vampire. Un peu moins d’un siècle. Quoiqu’il en soit, le temps passait beaucoup plus vite avec elle à ses côtés. Il était heureux d’avoir retrouver une véritable raison de vivre ! Et il souhaitait cela à tout le monde…Surtout à ses enfants.

    Tout ça pour dire que Monsieur Carlisle Cullen s’occupait de son énième patient sans manifester la moindre trace de fatigue, d’impatience, ou de colère. Comme toujours, il se comportait avec calme, et gentillesse, un sourire toujours aux lèvres.

    « Comment va votre famille, docteur ? »

    Demanda une vieille femme, alors qu’il lui prenait sa tension. Les yeux de Carlisle se plissèrent alors que son sourire s’étirait à son tour. Parler de sa famille était toujours une joie pour lui, car même s’ils n’étaient pas ses vrais enfants, ils les considéraient tous comme tels. Il se prit donc au jeu et répondit à sa patiente, après lui avoir tapoter la main

    « Mes enfants vont très bien Madame Bristow, comme toujours. Merci de vous en inquiéter. En tout cas, les votre n’auront pas à se faire du soucis, vous êtes en pleine forme ! Je dirai même que vous êtes prête pour le marathon de la saison prochaine ! »

    D’une soixantaine d’année, Madame Bristow n’était pas prête de courir quoique ce soit, surtout dans son état. Elle avait appris quelques mois plus tôt qu’elle était atteinte d’un cancer. Loin de s’apitoyer sur son sort, la vieille dame se battait, déterminée, et toujours avec le sourire. Carlisle ne pouvait s’empêcher de la respecter et de l’admirer secrètement. Certains humains étaient courageux face à la mort imminente qui les attendait. Ce n’était pas toujours le cas, et madame Bristow n’en avait que plus de mérite.

    Cette dernière rit de sa remarque et son visage prit une délicieuse couleur rouge, qui fit plaisir au docteur. C’était bon signe tout ça ! Il fallait qu’elle continue à se battre. On pouvait vaincre le cancer. Il fallait qu’elle puisse s’en sortir, c’était un petit bout de femme si charmante, si aimante et généreuse. Il s’attarda à ses côtés pendant encore une dizaine de minutes, lui posant les questions d’usage, et notant ses réponses dans son dossier médical. Il était en train de lui parler de leur prochain rendez-vous lorsqu’on frappa à sa porte :

    « Docteur Cullen ? Le docteur Parker aimerait vous voir dès que vous serez libre. Il semblerait qu’elle ait quelques soucis à propos du dossier sur lequel vous travaillez tous les deux. »

    Rangeant son stylo dans la poche avant de sa blouse, Carlisle hocha la tête avant de répondre :

    « Très bien, je la rejoindrai dès que j’aurai fini avec Mme Bristow. »

    L’infirmière sourit une dernière fois avant de disparaître. Le vampire prit son temps pour discuter encore un peu avec la vieille dame. La communication faisait partis des éléments indispensables entre un patient et son médecin. Sans cela, la confiance pouvait flancher à n’importe quel moment, et cela pouvait avoir des conséquences très grave. Il en avait déjà fait l’expérience il y a une cinquantaine d’années de cela. De toute manière, il n’était pas pressé. Le docteur Parker voulait le voir, mais elle n’avait pas préciser quand.

    Il raccompagna sa patiente jusqu’à l’entrée de l’hôpital, où il la confia à son neveu, venu spécialement pour elle. Il les regarda sans aller, puis prit une grande inspiration. Bien ! A Miss Parker à présent. Tout en se dirigeant vers le troisième étage, Carlisle fit de son mieux pour conserver un masque impassible. A vrai dire, il n’avait jamais beaucoup apprécier le médecin en question. Oh bien sur, cela ne se voyait pas ! Il n’était pas du genre à être démonstratif et à montrer son dédain. Il était poli et courtois, même envers les personnes qui n’étaient pas… accommodante, dirions-nous ! C’était les bases de la civilité non ? De plus, il ne voulait pas avoir de problème avec ses collègues. Il était déjà toujours sur ses gardes à cause de sa nature vampirique. Inutile de se rajouter des ennuis en plus. Ces derniers temps le gâtait assez…

    Arrivée dans le couloir du troisième étage, il salua quelques uns de ses amis docteurs, ses pas le menant directement vers le bureau de Miss Parker. A quelques mètres de l’arrivée, ses sens vampiriques se mirent au travail et il put surprendre la conversation de sa collègue avec un homme dont l’accent et la voix marquèrent immédiatement Carlisle. Il comprit très vite qu’il s’agissait d’ Ârash, un jeune toubib arrivé récemment.

    " Écoutez, oui je suis nouveau, ça vous dérange? J'ai remplit la fiche comme j'ai pu et j'ai cru bien faire. Pour moi Mlle Neims est nord-américaine blanche, qu'elle vive à LaPush ou à New York. C'est votre problème si vous la trouvez indigène! Et je crois que vous avez ici un stylo pour corriger cela!
    Quand au fait que j'aurais dû le donner à Mr Strom et non à vous, je crois que vous avez une paire de jambes qui vous ont permis de venir jusqu'au bloc où j'étais en train de bosser alors que vous vous n'avait apparemment rien foutu depuis tout à l'heure. Au lieu de descendre 3 étages vous aurez très bien pu en monter 2 et lui donner ce fichu papier à Mr Strom!

    Y'en a qui bossent! "


    Les sourcils de Carlisle se froncèrent mais bien malgré lui, il ne put retenir un sourire. Il comprenait parfaitement la colère du jeune médecin. Miss Parker pouvait être horipilante lorsqu’elle le voulait. C’était une des raisons pour laquelle Carlisle faisait tout pour l’éviter. Malheureusement pour lui, ils travaillaient ensuite sur un dossier assez important, et il n’avait pu y échapper.

    Jugeant qu’il valait mieux aller au secours d’Ârash plutôt que de laisser le cerbère s’emporter, carlisle frappa brièvement à la porte avant d’entrer, sans même attendre de réponse :

    « Docteur Parker, on m’a dit que vous vouliez me voir assez rapi-… Oh pardon ! Je ne savais que vous étiez occupée ! »

    C’était bien entendu ! Mais il n’allait pas entrer en clamant : « Bonjour, je viens arracher ce jeune homme de vos griffes de sorcière ! ». Nullement intimidé, ni même géné comme le laissait paraître ses paroles, Carlisle s’avança dans la pièce. Miss Parker sembla prise de court pendant quelques secnodes. Elle finit par se reprendre et répondre :

    « En effet, mais ce n’était pas si urgent. Je… »

    « Vraiment ? J’ai cru comprendre que ça l’était. Et comme j’ai un patient assez important dans quelques minutes, je me suis dit que c’était le moment où jamais de passer. Mais si je dérange, je peux très bien… »

    « Non, non ! C’est bon ! Asseyez-vous, j’en ai pour une minute. »

    Carlisle s’éxecuta, et prit place dans le siège à côté d’Ârash. Ce dernier semblait s’être un peu calmé, mais le vampire avait la nette impression qu’il était un peu plus palot que d’habitude. Croisant ses yeux, il lui fit un clin d’œil rassurant. Miss Parker ne pouvait pas continuer son sermon de toute manière, à présent qu’il était là. Elle n’était pas stupide au point de pourrir un nouveau devant lui. Elle se racla donc la gorge, et après avoir croisé les mains sur son bureau, elle dit :

    « Bon… et bien. Je pense qu’on a fini Monsieur Namdar-Katalan »

    Elle buta sur le nom de famille, mais ne sembla pas d’en préoccuper. Elle fit un signe de la main, pour le congédier, assez rudement d’ailleurs. Mais le jeune médecin devait être heureux de s’éclipser car quelques secondes plus tard, il quitta le bureau. Il ne restait plus que Carlisle et le docteur Parker. Charmant, pensa ce dernier… Il espérait que ça allait être bref.

    Il sortit une dizaine de minutes plus tard, et eut la surprise de voir Ârash dans le couloir….

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Ârash Namdar-Katalan

Ârash Namdar-Katalan


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MessageSujet: Re: La maison des malades (mentaux?)[Carlisle]   La maison des malades (mentaux?)[Carlisle] Icon_minitimeMar 27 Juil - 0:28

Suite à l'interruption de Carlisle, le regard d'Ârash ne le quita pas des yeux. C'était tout de même plus agréable de regarder Carlisle que cette veille sorcière!
Et puis, on pu lire dans ses yeux presque toute la gamme d'émotions humaines.
D'abord, la surprise. Il ne s'attendait pas à la venu d'un sauveur. La complaisance. C'était Carlisle, que dire de plus?
La curiosité. Pourquoi un homme droit et calme comme Carlisle viendrait voir Miss Parker? Il le croyait sain d'esprit!
Puis, ce fut l'attention, la conversation se déroulait normalement, la compréhension, le sourire discret et complice au clin d'oeil de son ami.
Du coup, Ârash se sentait bien mieux, plus calme, rassuré, de savoir que son ami et sauveur a fin de compte, était là. Il aportait le calme avec lui. Cette sensation d'un temps immobile, une pause dans l'agitation naturelle de la vie humaine. Il attendit patiemment la fin du dialogue, en y assistant comme un spectateur a une pièce de teatre. Il commençait à entrevoir la suite des evenements.

Ce fu tel qu'il le predit dans sa tête.
Bien plus tranquile qu'avant, l'enervement avait disparu dès qu'il s'assit à ses côté.

« Bon… et bien. Je pense qu’on a fini Monsieur Namdar-Katalan »

Ah, ces mots magiques! Cette sensation de liberté, il allait quitter l'Hadès!


" Merci Miss Parker. Bonne journée! "

Son ton avait prit un nom neutre, monotone et robotique. Très different de sa façon normale de parler. Mais il était zen....

En se levant il frola avec la main l'épaule de Carlisle, la posant une seconde seulement pour que Miss Parker ne le remarque pas. Cependant il savait que Carlisle l'avait sentit. C'était sa façon, taciturne, de dire merci.

Il sortit et ferma la porte. Il soupira profondement, soulagé. Il commença a faire quelque pas puis retourna en arrière.
Non, il ne pouvait pas partir. Il ne pouvait pas lui faire ça a Carlisle, lui qui l'avait sauvé. Et puis, que pouvait bien ètre 10, 15, ou 20 minutes dans toute la journée? Il n'allait pas manger, il n'était pas pressé.
Il regarda sa montre. 1...2...3... minutes le temps passait si lentement...Il s'aprocha de la fenetre du couloir et regarda l'exterieur.
Ses pensées dérivèrent bien vite sur le fait qu'aujourd'hui nous étions 9 de Av, que sa mère soit archéologue et donc insiste à le faire, et sur le rapel que son père insistait pour qu'il fasse le ramadan.
Faut dire que ça le derangeait un peu. A la fac ok, mais en plein stage a l'Hosto? Il en discutirait avec lui, il avait encore deux semaines de marge. Il détéstait les dattes qui se raprochaient autant. Môman et pôpa n'avaient pas de problème, chacun faisait le sien! Mais Mahyar et lui quoi?
C'était possible d'être les deux à a la fois?!
Par pure inerci, la tradition, les souvenirs. et les paroles reveinrent à sa mémoire.
Quand il s'en rendit compte, il comprit que, par habitude il avait commençait à prier. Et il avait finit. Tant pis.
Au moins il n'aurait pas à mentir à Emma qui était devenu La gardienne de la Tradition. Une Tradition qui devenait un peu dure à porter.

Il resta quelque minutes à regarder dehors, le regard vague, perdu dans d'autres terres, dans un autre temps.

Il ne savait pas combien de minutes étaient passé et il se raprocha de la porte. Il ne voulait surtout pas avoir manqué Carlisle.

Juste quand son dos venait de toucher le mur à gauche de la porte, et ses bras venaient de se replier sur son torse, la porte s'ouvrit. Il sursauta légèrement, reprendant une position droite, sans se tenir contre les élements structuraux de l'edifice.

Apparemment Carlisle fut agréablement surpris.Ârash en fut ravi et sourir aimablement. Ses yeux vivaces et son sourire, quelque peu merdeux, mais toujours complice. Les mots étaient de trop pour faire comprendre à Carlisle qu'il l'avait attendu par solidarité masculine, ou d'un autre genre.
Pendant qu'ils s'éloignaient vers les escaliers, Ârash enfouit ses mains dans ses pôches et l'air de rien il ajouta.


" On m'a apris ya pas longtemps qu'on ne laisse aucun homme en arrière. "

L'alusion a la double conversation avec Miss Parker, comme si c'était une dure épreuve, une guerre, était plus qu'évidente. Mais ils étaient déjà assez loin du bureau du docteur pour qu'elle ne les entende.

Tout en descendant les escaliers à moitié en sautillant d'impatience pour arriver en bas il demanda nonchallant...


" C'est l'heure de la pose... tu vas faire quoi? aller à la cafet'? "

Ârash possède un visage extrement expressif. Ce qui n'était qu'une question de routine finit par imploration encouverte avec les yeux du chat botté de Shrek pour le suplier d'aller n'importe ou, ou le mangeait serait inexistant. Il gardait l'espoir en la diette quelque peu bizarre de Carlisle. Diette qu'il n'avait jamais osé en demander les détails, mais qui ne coincidait pas avec la sienne en temps normals. Il espérait donc que le jeûne allait être partagé.
La lumière gris pale qui traversait les vitres après avoir passé la censure des nuages iluminait les joues légèrement rosées d'Ârash alors que d'habitudes elles sont d'une couleur sable, typique des hommes et femmes de la méditéranée occidentale. Son regard était pâle, vague, distrait, sans la vivacité et l'énergie inébranlables habituelles. Ce reflet inhabituel pouvait avertir un médecin attentif que sa journée avait été particulièrement éprouvante. Décidement avoir une mère archéologue était trop éprouvant!
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Carlisle Cullen

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MessageSujet: Re: La maison des malades (mentaux?)[Carlisle]   La maison des malades (mentaux?)[Carlisle] Icon_minitimeMar 3 Aoû - 12:30

    Les minutes en compagnie de sa collègue lui parurent interminables. Elle finit toutefois par le « relâcher » et c’est en retenant un soupire de soulagement que Carlisle se leva et prit congés. Il était resté calme, et poli, tout au long de son entretient avec elle, mais ce n’était toutefois pas ce qu’il ressentait. Peu de personne l’agaçait. Mais cette miss Parker en faisait partis. Dans le couloir, il retrouva le jeune Ârash, qui semblait l’avoir attendu. Cela lui fit plaisir. Même s’il l’avait aidé à s’enfui, il ne s’attendait pas à ce que son collègue patiente dans le couloir. Sand dire un mot, ils se sourirent silencieusement. Ils n’avaient pas besoin d’en dire, ils se comprenaient sans avoir besoin d’en rajouter, et Carlisle appréciait ce genre de complicité entre eux. A présent qu’il s’était redressé, ils empruntèrent ensemble le couloir du troisième étage.

    " On m'a appris ya pas longtemps qu'on ne laisse aucun homme en arrière. "

    Disait le jeune médecin. Cela fit sourire encore une fois Carlisle qui hocha la tête et posa brièvement une main sur l’épaule de son collègue.

    « Voilà qui est sage et noble de ta part. »

    Même si la phrase d’Ârash était plus approprié à une situation de « guerre », Carlisle n’en comprenait pas moins la teneur. Après tout, il savait parfaitement de quoi il parlait. Il l’avait lui même vécu. Cette camaraderie, ce soutien entre les hommes dans les moments difficiles. Ils n’en étaient que plus appréciés. A présent qu’il n’y avait plus de guerre (enfin, façon de parler !), il était toujours agréable de réaliser que tous les humains n’avaient pas perdu ce… patriotisme ? Le mot était peut-être un peu fort. Mais le sens était bien là.

    « Miss Parker sait se montrer tyrannique quand elle le veut. Mais sache qu’il vaut mieux parfois –je dis bien parfois - se plier aux ordres et aux remarques plutôt que lui répondre… Ne dit-on pas que le silence est le plus grand des mépris ? »

    Il ne savait pas si Ârash comprenait ce qu’il ovulait dire, et s’il avait capté le message. Parfois, il était bien difficile de dire ce que l’on voulait. Les mots ne suffisaient pas toujours et pouvaient être trompeurs. Carlisle espérait juste que son jeune ami n’allait pas s’attirer des ennuis en ayant une répartie un peu trop… facile. Celait pourrait être pénalisant pour le médecin, et ce serait bien dommage, au gout de Carlisle, qui pensait vraiment qu’Ârash avait du talent pour son métier.

    Ils descendaient à présent un escalier, et son ami était visiblement assez impatient. Il n’arrêtait pas de gesticuler dans tous les sens, et Carlisle se demandait bien pourquoi. Il y avait quelque chose de différent chez lui mais il n’arrivait pas à mettre la main dessus.

    " C'est l'heure de la pose... tu vas faire quoi? aller à la cafet'? "

    Oh ! Tout le monde savait que le docteur Cullen n’était pas du genre à aller à la cafétéria. Pour taire les rumeurs étranges qui courraient sur son sujet, il avait une fois prétendue que sa femme lui faisait des plats à réchauffer et qu’il pouvait donc manger tranquillement seul dans son bureau, pour pouvoir réfléchir et être au calme. Ce mensonge était passé comme une lettre à la poste. Enfin… il l’espérait. Bien entendu, de temps en temps, il s’aventurait tout de même dans ce lieu pour prendre un verre avec des collègues. Mais c’était plus un acte de… diplomatie, qu’autre chose ! A la question d’Ârash, Carlisle répondit donc assez rapidement, sans vraiment prendre le temps d’y réfléchir :

    « Non non, je n’ai pas vraiment soif, ni faim d’ailleurs. »

    Il marqua un temps de silence, alors que ses yeux inhumains parcouraient le visage de son confrère à la vitesse lumière.

    « Mais si tu veux y aller, je peux t’accompagner. Tu es tout rouge, on dirait que tu as de la fièvre. Tu es sur que ça va ? »

    Carlisle ne pouvait pas deviner dans quelle situation se retrouvait Ârash. Il était vampire, pas devin ! Tout ce qu’il savait, c’est que son collègue avait l’air de se sentir mal. Il ne voulait certes pas le montrer, mais son visage était très expressif. Et il regardait Carlisle avait une expression de supplice. Mais que voulait-il au final ? Aller à la cafet, ou ne pas y aller ? Telle était la question. Quoiqu’il en soit, dans les deux cas, Carlisle pouvait le contenter.

    Après un temps d’hésitation, Carlisle leva la main vers Ârash, dans un geste un peu trop paternaliste peut-être. Sa main toucha son front pour vérifier sa température. Certes avec la sienne, ses estimations pouvaient souvent être faussés, mais il avait finis par trouver le juste milieu pour donner un pronostic exact. Sa main ne s’attarda pas très longtemps sur le front de son ami, car il avait pris l’habitude que tout le monde lui fasse des remarques sur ses mains froides. Il répliquait toujours avec humour que la température extérieur n’aidait pas beaucoup pour se réchauffer, même à l’intérieur de l’hôpital.
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Ârash Namdar-Katalan

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MessageSujet: Re: La maison des malades (mentaux?)[Carlisle]   La maison des malades (mentaux?)[Carlisle] Icon_minitimeDim 15 Aoû - 23:55

Ah c'était vrai, s'était dit Ârash quand Carlisle répondit qu'il n'avait ni faim ni soif. Il n'avait jamais faim ni soif....

Il se souvint qu'il avait dit que sa femme lui faisait des petits plats à emporter et qu'il les mangeait dans son bureau. Mais avait-il déjà eut le temps de dejeuner? Une idée farfelue lui traversa l'esprit. Carlisle ne mangeait ni buvais pas....

Ceci dit, vu l'impossibilité d'un être humain à survivre dans ces conditions, son esprit logique la refoula presque immédiatement après l'avoir formulé.

Mais c'était vrai que son teint blanc, blême le portait, ou aurait dû le porter, à se méfier de cette vérité universelle. Ses yeux caramel, si doux et non seulement par sa ressemblance avec cette gourmandise, parcoururent son visage à une vitesse sur humaine. Ârash ne s'en rendit pas compte. Leurs regards se croisa une millésime de seconde. Ârash était dans son propre monde, son esprit tentait de l'inciter à chercher cette faille que Carlisle avait commis en même temps que quelque chose le retenais.

La voix de Carlisle, la même qui avait prononcé cette mystérieuse phrase, le sortit de ses pensées.


« Mais si tu veux y aller, je peux t’accompagner. Tu es tout rouge, on dirait que tu as de la fièvre. Tu es sûr que ça va ? »


Un grimace involontaire aparut sur le visage d'Ârash. La cafet' était devenu en se jour un lieu de torture. Et puis il avait promis à mamie de ne pas y aller, très certainement parce qu'il savait qu'il ne pourait pas tenir la-bas sans demander un verre d'eau, ou un bon sandwich. Il le suplier mentalment de ne pas aller à la cafet sans savoir que son visage expressait à la perfection son voeux prononcé exclusivement mentalement.

Un silence s'installa entre eux pesament. Que devait-il faire? Carlisle s'inquietait pour lui, Il était sincere. Il ne s'était jamais `plein de la culture d'Ârash, ni de ses prénoms ou noms dificiles a prononcer ni de ses origines. Il l'avait toujours traité comme un gran ami, et Ârash aprécier cela. Il savait qu'il pouvait se confier à Carlisle, ceci dit, il attendit et ne dit rien.
Parfois c'est compliquer de comprendre quand on ne le vit pas depuis petit les traditions des autres cultures... Il redoutait toujours la reaction des autres à ce sujet et était toujours réticent à ce confier sur ce sujet.

Il y reflechit pendant tellement de temps qu'il laissa le temps à Carlisle de mettre sa main sur son front. Ârash surprit par ce geste savant de celui qui à prit des milions de fois la temperature de ses petits patients le laissa faire.

Sa main froide ne s'attarda pas longtemps sur son front. Juste le necessaire pour inquieter Ârash. Ce n'était pas possible d'avoir des mains aussi gêlées. Et pourtant, Carlisle... il existait bien... Toute façon il connaissait la réponse de Carlisle par coeur. Il sourrit à Carlisle, sachant d'avance que son geste allait être inutile.


" Je n'est plus eut de fièvre depuis que j'allais au lycée mais toi, je crois que je vais t'offrir une paire de gants à porter même l'été! hehehe "

Il ria innocement de sa blague, une façon détourné de lui faire comprendre à Carlisle que ce sujet l'inquietait un peu, comme médecin il désirait que la santé de son ami soit bonne. Cependant, il y avait quelque chose d'étrange cette fois-ci. Dificile à définir ce que c'était mais, c'était comme si quelque chose cloché. Comme si la réponse de Ârash aurait un autre sens pour Carlisle... mais lequel? Il eut vraiment l'impression qu'aujourd'hui quelque chose clochait.
Un silence commençait à s'installer, mais Ârash le coupa net de sa voix claire et joviale.


" En fait, c'est vrai, j'ai pas envie d'aller à la cafet'. Je pense que tu t'en ait rendu compte...t'inquiete chuis pas malade... "

A la vue de la tête de Carlisle Ârash soupira et reprit la parole quelque peu résigné

" Ça te dis d'aller faire un tour dehors pour que je t'explique? "

Malgré être en plein été, un gros ensemble de nuages gris pâle couvrait toute espoir de voir les rayons du soleil se filtrer à travers eux. Aucun soucis pour notre ami à la peau rayonante.

Ârash se mit en marche et sans rien dire s'aprocha de la sortie. Ils sortirent dehors et profitèrent de l'air frais en prenant quelques bouffés d'air pour remplir leurs..., en tout cas pour remplir les poummons d'Ârash. Je supose que Carlisle profitait au moins du paysage.

Ils s'assirent sur en banc. Ou plutôt Carlisle s'assit, parce qu'Ârash se laissa tomber, et s'étira sur le banc, les jambes croisés sur l'herbe, les bras derrière le banc. Il bailla. Mais pas vraiment de sommeil.

Avec la main qu'il avait ramener sur sa bouche pendant qu'il baillait, il chercha une pochette dans la partie interne de sa blouse. La pochette était jaune clair avec des lettres grosses inscrites dessus: PUEBLO, et un peu de bleu autour d'elles.
Il l'ouvrit et....


* VIDE?!?!?! *

Il n'y avait qu'un petit post-it écrit en bleu de la lettre de mamie qui citait les mots de son père au telephone:

[Ton père te rapelle d'un ton solanel que: " comme médecin tu devrais savoir que fumer est mauvais pour la santé, et comme musulman que c'est interdit! "

Signé: Mamie]

Décidement, c'était un complot familial... Et puis, après tout, c'était vrai que c'était pas très bon pour la santé, et moins sans avoir rien dans l'estomac. Il repliat le sachet et le garda.

Soupira pour se calmé et accepter tous ces revers de la journée et aussi pour se demander philosophiquement comment quelqu'un qui habitait à près de 10.000 km pouvait controler sa vie aussi efficassement.


" Bon, c'est une longue histoire, es-tu près à l'entendre? "

Avec le sourire en coin, Ârash savait que son récit allait être long et plutôt farfelu, mais sa prope vie l'était!

" Sais-tu ce que c'est que le 9 d'Av? "

Il espérait que la culture générale de Carlisle le sauve de faire la grosse parrafade pour expliquer ce jour fatidique.

" Aparament c'est aujourd'hui, et môman et mamie se sont mise d'accord pour "me rapeller" que c'est un jour important... môman est archéologue et adooore ces petits trucs.... enfin... pas petits.... bref. Disons que ça lui tiens à coeur et mamie à tout fait pour me transmettre la volonté de môman, comme par exemple collé des post-it à la maison pour me rapeller de pas aller à la cafet' à midi, ou m'avertir qu'elle avait aimablement caché de quoi p'tit déjeuner... Ce matin j'ai fait renversé mon café sur mon pantalon... demain c'est shabbat, mais mamie m'a promis de pas faire d'Adafina, je détéste ça en fait. Elle m'a dit qu'elle ferait du Shirin polo... mais je sais bien que c'est pas sa spécialité et je lui ait dit que je voudrait pas qu'elle se donne du mal à dépoussièrer une vielle recette de mamie Mahdis... en fait si que j'ai envie qu'elle se donne du mal à la dépoussierer parce que je préfére mille fois le Shirin Polo... arg ! Je suis juste déprimé à l'idée d'avoir fait renversé mon café sur moi c'matin, surpris du complot femino-familial, content d'être à Forks, et désespéré par les probabilités effrayante d'avoir ce soir à diner un certain potage que je n'aprécie pas spécialement même si j'admet que c'est très bon... Tu sais que ça fait du bien de parler avec toi Carlisle? "

Au moins il avait quelqu'un qui l'écoutait, et ça faisait vraiment du bien. Tout s'était enchiané et il n'avait pas put encore penser vraiment à tout ça. C'était une journée éprouvante, surtout avec Miss Parker! Il n'avait pas encore eut le temps de se poser et de reflechir à ce qu'il voulait faire. Et pouvoir en parler a Carlisle l'aider a mettre ses pensées en ordres.

Il ne parla pas du petit sachet de tabac, désormais vide. C'est vrai qu'en tant que médecin il s'attendait à une reproche de la part de Carlisle, qui a part d'aparament ne pas manger et ne pas boire ne fumait pas non plus.
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